Toboro c’est quoi ?
Toboro est une application mobile de location d’objets du quotidien entre particuliers mais aussi entre entreprises et particuliers. Il est donc possible de mettre en location des objets qu’on n’utilise pas quotidiennement, ou bien de louer pour des besoins ponctuels.
Comment vous avez eu l’idée ?
On vivait en co-location avec mon associée Adina. Lors d’un déménagement, on s’est rendues compte qu’on possédait énormément d’objets. Et comme on était sensibles à l’urgence climatique, on s’était dit qu’on allait créer une marketplace : l’idée de Toboro est donc venue très naturellement. On s’est dit : “pourquoi pas faire un usage plus intelligent des ressources qu’on a à notre disposition ?”
Comment avez-vous fait évoluer votre idée en application concrète ?
Lorsque l’idée est venue, on a commencé à en parler autour de nous pour la valider. La plupart de nos amis nous ont posé des questions et nous ont demandé comment cela n’existait encore, tant ça semblait être une évidence. Il y a eu plusieurs tentatives mais, pour l’instant, aucune entreprise n’a réussi à percer car le modèle est assez difficile et les mentalités ne’y sont probablement pas encore prêtes. Mais, la société et les mentalités sont en train de changer aujourd’hui et l’on voit de plus en plus d’entreprises émerger, notamment dans la seconde-main et l’économie circulaire. Toboro s’inscrit complètement dans ce second domaine.
Donc en parlant autour de nous, on a vraiment essayé de trouver notre co-fondateur sur la partie technique. Il a adoré l’idée et a pu se projeter à l’avenir, notamment vis-à-vis de son enfant. On a ainsi commencé à co-construire le produit ensemble. On a ensuite postulé à des programmes, surtout au niveau de l’Union Européenne : on a gagné le programme Future Makers en premier lieu. C’était notre première validation, mais les débuts restent assez difficiles pour une start-up. On a donc essayé d’intégrer plein d’incubateurs, surtout à Paris. Le premier qu’on a réussi à avoir était Station F et c’est pour cela qu’on est là aujourd’hui.
Comment avez-vous fait évoluer votre idée en application concrète ?
Lorsque l’idée est venue, on a commencé à en parler autour de nous pour la valider. La plupart de nos amis nous ont posé des questions et nous ont demandé comment cela n’existait encore, tant ça semblait être une évidence. Il y a eu plusieurs tentatives mais, pour l’instant, aucune entreprise n’a réussi à percer car le modèle est assez difficile et les mentalités ne’y sont probablement pas encore prêtes. Mais, la société et les mentalités sont en train de changer aujourd’hui et l’on voit de plus en plus d’entreprises émerger, notamment dans la seconde-main et l’économie circulaire. Toboro s’inscrit complètement dans ce second domaine.
Donc en parlant autour de nous, on a vraiment essayé de trouver notre co-fondateur sur la partie technique. Il a adoré l’idée et a pu se projeter à l’avenir, notamment vis-à-vis de son enfant. On a ainsi commencé à co-construire le produit ensemble. On a ensuite postulé à des programmes, surtout au niveau de l’Union Européenne : on a gagné le programme Future Makers en premier lieu. C’était notre première validation, mais les débuts restent assez difficiles pour une start-up. On a donc essayé d’intégrer plein d’incubateurs, surtout à Paris. Le premier qu’on a réussi à avoir était Station F et c’est pour cela qu’on est là aujourd’hui.
Pouvons-nous louer dans toute la France ?
L’application est disponible dans toute la France, même si l’on se concentre pour l’instant sur la région parisienne et l’Ile-de-France. On est encore en version bêta donc on trouve le plus de chose aux alentours de Paris, même s’il reste possible de mettre en location sur l’ensemble du territoire.
Quel est l’objet le plus insolite qu’on puisse louer sur toboro ?
Je pense que c’est un déguisement. Ce sont des cornes mises en location qui feraient très bien l’affaire pour Halloween !
Quel est l’objet le plus utile qu’un étudiant puisse louer en ce moment sur toboro ?
Je pense que cela pourrait être un Macbook pour prendre des notes en cours ou un sac à dos pour partir à l’aventure le week-end.
Quels sont les avantages économiques et écologiques de votre application ?
Par la location, tu peux avoir des compléments de revenus en mettant en location des objets que tu n’utilises pas quotidiennement. D’autre part, quand tu loues quelque chose, tu ne payes qu’une fraction du prix du produit, et donc tu peux faire des économies.
Au niveau écologique, notre modèle a été créé dans l’idée de lutte contre la surconsommation. On aide à un usage plus élargi des ressources et à augmenter la durée de vie des produits. L’écologie est donc une idéologie forte de notre projet !
Quelles sont les nouveautés sur lesquelles vous travaillez ?
On peaufine le public request, c’est-à-dire une demande publique de location dans le cas où l’on ne trouve pas un objet dans les alentours. Si quelqu’un voit cette demande publique, il peut alors y répondre.
La seconde nouveauté est l’arrivée d’une caution pour des objets chers, gérée par notre tiers de paiement. Cela permet d’encore plus sécuriser la transaction, et donc de créer toujours plus de confiance.
À quel avantage les étudiants utilisateurs d’illicogreen ont-ils droit ?
On a fait un partenariat avec illicogreen. Lorsqu’un utilisateur d’illicogreen télécharge notre application et se crée un compte, il est possible de rentrer un code [obtenu sur illicogreen.fr] et de se voir créditer 10€ à son porte-monnaie, utilisables sur Toboro uniquement.